#28 - ERREUR : Quand « MANGER SAIN » peut devenir un DANGER
Sjets de cette édition : 🌿 Oxalates ✅ Protocole simple pour des yeux en pleine santé🌿 Gandush 💓 Hypertension artérielle💧Résistance à l’insuline 👀 Bien voir toute sa vie
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Ici, pas de recettes miracles ni de discours vides de sens. Seulement des pistes concrètes, ancrées dans la nature et le bon sens, pour t’aider à renouer avec ta santé — à ton rythme, sans injonction ni pression inutile.
Je suis Loïc Ternisien, naturopathe depuis plus de 12 ans, passionné par l’idée d’accompagner celles et ceux qui veulent avancer autrement : plus de conscience, plus de sens… et bien sûr, une pincée de plantes pour saupoudrer tout ça 🌿
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✅ Au menu cette semaine….
🌿 Oxalates : quand « manger sain » peut devenir problématique
✅ Protocole simple pour des yeux en pleine santé
🌿 Gandush : le bain de bouche à l’huile qui change tout dès le réveil
💓 Hypertension artérielle : et si on revenait à l’essentiel ?
💧Pourquoi la résistance à l’insuline te fait gonfler ?
👀 Bien voir toute sa vie : mythe ou mission possible ?
Pssiiit ! Pour les nouveaux, voici les derniers sujets abordés :
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[DOSSIER] : Le danger caché dans nos produits du quotidien : L’aspartame (E951)
🫠 Humeur du moment…
Je rentre tout juste de Paris où j’ai eu la joie de passer trois journées riches en consultations. Je ressens beaucoup de gratitude de pouvoir continuer à vous rencontrer « en vrai », vous écouter, vous accompagner pas à pas… et créer ces espaces de lien qui me tiennent tant à cœur. Mon prochain passage à Paris est prévu pour septembre : l’agenda ouvrira dans les prochaines semaines et, comme toujours, vous serez les premiers informés !
Et sinon… j’espère sincèrement que vous survivez à cette chaleur écrasante 🥵 ! Ici, en Savoie, la canicule dure déjà depuis un petit moment — j’avoue que je pensais trouver un peu de fraîcheur à Paris… pour finalement me retrouver en pleine zone rouge avant de revenir directement dans la fournaise savoyarde. Autant dire que ce n’est pas ma saison préférée !
Mais je prends ça avec philosophie : ça me donne une bonne excuse pour rester bien au frais au cabinet, et je me réjouis toujours autant de l’énergie du Centre Abondance à Aix-les-Bains. J’ai la sensation qu’un bel élan est en train de naître, avec un mouvement sincère, vivant et porteur. Ça me rend profondément heureux de voir ce projet prendre forme avec vous tous.
Prenez soin de vous, hydratez-vous bien et gardez un peu de fraîcheur au cœur 🌿💦
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🌿 Oxalates : quand « manger sain » peut devenir problématique
Tu manges « sain », riche en légumes, smoothies verts, noix, graines ? Bravo ! Mais si malgré tout tu ressens de la fatigue, de l’inflammation chronique ou des douleurs récurrentes, peut-être faut-il regarder du côté d’un invité discret : les oxalates.
Ces composés végétaux, naturellement présents dans plus de 200 familles de plantes, sont utilisés par elles comme bouclier de défense contre les prédateurs. Pour nous, humains, une petite quantité ne pose pas de problème ; mais une accumulation excessive peut devenir un vrai caillou dans la chaussure… voire dans les reins ! Les oxalates peuvent se fixer au calcium, au magnésium ou au fer, formant des cristaux irritants qui perturbent nos tissus et surchargent les reins. Résultat : calculs rénaux, douleurs articulaires, fatigue inexpliquée, troubles digestifs ou inflammations chroniques peuvent apparaître.
👉 L’inquiétude ? Elle est surtout pour ceux qui consomment beaucoup d’aliments « verts » : épinards, blettes, betteraves, oseille, noix, cacao cru, thé noir… Les smoothies et jus concentrent souvent de grandes quantités d’oxalates sans qu’on s’en rende compte. À cela s’ajoute parfois une flore intestinale affaiblie : la bactérie Oxalobacter formigenes, qui dégrade les oxalates, a disparu chez 76 % d’entre nous, souvent à cause des antibiotiques et d’une alimentation ultra-transformée.
Mais pas de panique ! L’idée n’est pas de bannir tous les végétaux — loin de là ! — mais de connaître quelques clés pour éviter la surcharge.
🌱 Comment limiter les oxalates sans sacrifier ton assiette ?
✅ 1) Diversifie et choisis malin
Privilégie les légumes à faible teneur en oxalates : choux (brocoli, chou-fleur, chou kale), laitues, concombres, courgettes, potiron, oignons, ail… Côté légumineuses, les pois chiches et lentilles sont de bons alliés.
✅ 2) Prépare bien tes aliments
Certaines techniques réduisent l’impact des oxalates :
Faire bouillir (et jeter l’eau de cuisson) permet d’en éliminer une partie.
Tremper et rincer graines et noix.
Associer à une source de calcium (fromage, yaourt, sardines) : le calcium se lie à l’oxalate dans l’intestin et l’empêche d’être absorbé.
Fermenter : la lactofermentation peut aussi réduire certains antinutriments.
✅ 3) Soutiens ton microbiote
Une flore intestinale en forme est ta première barrière contre la surcharge. Des probiotiques de qualité, riches en Lactobacillus ou Bifidobacterium, peuvent aider, tout comme des apports réguliers en fibres prébiotiques.
✅ 4) Compléments bien ciblés
Des citrates de calcium, magnésium ou potassium neutralisent partiellement les oxalates. Les vitamines B6 (forme active) et D3 soutiennent aussi le métabolisme cellulaire. Attention à la vitamine C : en excès, elle augmente la production endogène d’oxalates. Reste sous les 250 mg/jour sauf conseil avisé.
✅ 5) Diminue progressivement
Si tu réalises que ton alimentation est très riche en oxalates, ne coupe pas tout d’un coup ! Une réduction trop brutale peut provoquer une « maladie d’élimination » : le corps relargue soudain ses stocks sous forme de cristaux, entraînant inflammation et inconfort. Procède en douceur, par étapes, en remplaçant d’abord les aliments que tu aimes le moins.
✨ Retiens ceci
Les oxalates ne sont pas le diable, mais un excès prolongé peut devenir un vrai facteur d’inflammation chronique. Avec de la vigilance, des choix variés et quelques ajustements, tu peux profiter de tous les bienfaits des végétaux sans te charger inutilement.
C’est exactement le genre de thématique passionnante qu’on explore en profondeur dans mes formations — notamment dans le cours de phytochimie, inclus dans la Formation Continue NaturoCOMPÉTENCES+. Comprendre les molécules végétales, leurs interactions et leurs effets, c’est essentiel pour accompagner sainement, en toute autonomie et en toute conscience.
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👀 Bien voir toute sa vie : mythe ou mission possible ?
Prendre soin de sa vue devrait être une priorité… et pourtant, on y pense souvent trop tard. Entre l’âge, les rayons UV, la lumière bleue des écrans et la pollution atmosphérique, nos yeux encaissent au quotidien un véritable stress oxydatif. Résultat : cataracte, DMLA, glaucome ou rétinopathie diabétique sont de plus en plus fréquents — et souvent silencieux jusqu’à ce qu’ils deviennent handicapants.
Mais pas question de céder au fatalisme ! Comprendre ces pathologies, c’est déjà poser la première pierre pour agir avant qu’il ne soit trop tard.
🔬Cataracte, DMLA, glaucome : comprendre pour prévenir
La cataracte, première cause de cécité évitable dans le monde, correspond à une opacification du cristallin. Vieillissement, UV et tabac en sont les principaux responsables. Avec l’âge, les protéines du cristallin s’altèrent sous l’effet des radicaux libres, d’où l’importance de limiter le stress oxydatif au maximum.
La DMLA, ou dégénérescence maculaire liée à l’âge, est une dégénérescence progressive de la macula, zone centrale de la rétine. Elle conduit à une perte de la vision centrale. L’âge reste le premier facteur, mais la génétique, le tabac, une alimentation déséquilibrée et même une surcharge en fer jouent un rôle déterminant.
Le glaucome, lui, attaque le nerf optique, souvent à cause d’une pression intraoculaire trop élevée. Sournois, il peut longtemps passer inaperçu. Des prédispositions familiales, certaines origines ethniques, la myopie ou un diabète mal contrôlé augmentent le risque.
Enfin, la rétinopathie diabétique touche la moitié des diabétiques de type 1 et un tiers de ceux de type 2 après 10 ans de maladie. Une glycémie mal gérée favorise œdèmes maculaires, vaisseaux fragilisés et risque de cécité.
🧐 Un seul ennemi : le stress oxydatif
Toutes ces pathologies ont un point commun : le stress oxydatif, cette oxydation chronique des cellules oculaires fragiles, notamment les photorécepteurs de la rétine. Sans oublier la glycation (accumulation de sucres sur les protéines) qui rigidifie et endommage les structures comme le cristallin. Les mitochondries, véritables « batteries » cellulaires, sont elles aussi en première ligne. Leur rôle est crucial pour fournir l’énergie nécessaire au fonctionnement de la rétine, zone la plus énergivore du corps !
💡 Et maintenant… que peut-on faire pour protéger nos yeux ?
C’est là que tout devient intéressant ! Car si la génétique ou l’âge sont immuables, de nombreux leviers sont entre tes mains pour préserver ta vue le plus longtemps possible. Voici les mesures simples et concrètes à adopter dès aujourd’hui :
✅ Protocole simple pour des yeux en pleine santé :
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Au programme :
✅ Protocole simple pour des yeux en pleine santé
🌿 Gandush : le bain de bouche à l’huile qui change tout dès le réveil
💓 Hypertension artérielle : et si on revenait à l’essentiel ?
💧Pourquoi la résistance à l’insuline te fait gonfler ?
Accès aux DOSSIERS : la semaine prochaine on vous explique avec un invité comment booster son métabolisme !
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